Après avoir créé l’événement en déclarant à l’adresse des salafistes que «la récréation est bien, bien finie», et ce suite aux agression perpétrées par ces derniers, contre les bars et débits d’alcool à Sidi Bouzid, dans une seconde interview accordée, le 29 mais 2012, au même média (Radio Express Fm), Nouredddine B’hiri), ministre de la Justice, apparemment rappelé à l’ordre par son supérieur, s’est montré moins ferme vis-à-vis des salafistes et s’est contenté de leur faire de la morale.
Il a indiqué qu’il est de l’intérêt de «ces gens» de prendre conscience des éventuelles conséquences de toute violation de la loi et qu’il existe en Tunisie un seul Etat, lequel est là, aux fins de protéger tous les citoyens, de faire face à tous les abus et surtout de sanctionner tous ceux qui transgresseront la loi.
ABS
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