
En réponse à la requête du président tunisien, un membre de la Commission des affaires étrangères au Parlement irakien a salué cette initiative dans une déclaration à la radio Sawa, précisant par la même que ni le président tunisien ni tout autre dirigeant, n’a le droit de demander la grâce pour des terroristes ayant tué plusieurs milliers d’Irakiens.





