La Mauritanie a condamné mercredi 24 décembre 2014, soir à Nouadhibou (nord-ouest) à l’encontre d’un Mauritanien, musulman, inculpé après un écrit considéré comme blasphématoire.
Un juge avait rappelé à l’accusé qu’il a été inculpé d’apostasie “pour avoir parlé avec légèreté du prophète Mahomet”L’accusé, Mohamed Cheikh Ould Mohamed, détenu depuis le 2 janvier, avait plaidé non coupable mardi à l’ouverture de son procès.
Cette condamnation à mort pour apostasie serait la première de l’histoire dans ce pays de près de 4 millions d’habitants.