
Elle estime que cet audit est nécessaire pour développer le système de la gouvernance et de la gestion, instaurer un dispositif de contrôle interne efficace, moderniser le système informatique, assainir le portefeuille des crédits et de participations et consolider les assises financières de la banque.
Le syndicat de la banque avait accusé la responsable, dans une motion, de “peu de sérieux” en lui reprochant l’absence d’une vision stratégique pour la promotion de l’institution bancaire. Il a même demandé qu’elle démissionne de son poste.
La responsable a estimé que le syndicat a réagi contre les nominations décidées par les structures de gestion de la banques dans certaines de ses succursales sans qu’il soit consulté.
“La partie sociale ne peut pas être associée aux décisions de nomination et de promotion sauf si la loi le permet”, a-t-elle répliqué.
Elle dit avoir déployé des efforts, depuis sa désignation à la tête de la banque, pour réequilibrer ses comptes et renforcer ses assises financières.
DI/TAP




