Suite à l’exécution de 21 chrétiens égyptiens enlevés en Libye par l’Etat islamique, dimanche 15 février, le président Abdel Fattah Al-Sissi, qui a convoqué d’urgence le Conseil national de défense, a affirmé, l’air grave, que son pays se réservait «le droit de répliquer de la manière et au moment adéquat, pour punir ces assassins».
Al-Sissi, qui s’exprimait à la télévision nationale quelques heures après l’annonce de la mise en ligne de la vidéo de la décapitation des 21 chrétiens égyptiens, a dit que son pays choisirait «les moyens nécessaires et le moment pour venger ces exécutions criminelles».