
Selon les résultats de cette étude menée sur un groupe de 19 adolescents volontaires pendant 5 ans, ces perturbations pourraient être à l’origine des troubles dépressifs ou de l’usage des drogues. En effet, aucun membre du groupe ne présentait de troubles psychiatriques au début de l’enquête.
Pourtant 5 de ces adolescents ont développé une dépression et 4 sont devenus accros à la drogue. Tous ont été victimes de violences ou ont assisté à des scènes de violence avant leur dixième année. La matière blanche avait subi des modifications chez tous les adolescents.
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