
« Si les médecins arrivent à comprendre les dérives sécuritaires qui ont éclaté au lendemain de la révolution, touchant hôpitaux, administrations et lieux publics, il est aujourd’hui, inadmissible que de tels agissements continuent, après que le pays ait retrouvé une vie institutionnelle normale », regrette Dr Charfi.
Dans un communiqué, l’UMSL condamne les actes de violence perpétrés contre l’ensemble du personnel médical exerçant tant dans le public que dans le privé. Ils appelle les patients et leurs familles au calme, à la patience et à la retenue et aux autorités, à l’urgence de prendre les mesures nécessaires pour assurer la protection des médecins et leur permettre de travailler dans de meilleures conditions.
« Les médecins ont participé et soutenu, sans réserve, la révolution de la liberté et n’ont cessé de montrer leur sens de responsabilité, en assurant la continuité des soins médicaux sur tout le territoire tunisien, même pendant les périodes les plus troubles dans des conditions sécuritaires précaires » peut-on lire dans le communiqué de l’UMSL.
WMC/TAP
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