
Les mêmes sources ont ajouté que "cette mesure vise la prévention contre tout acte terroriste ciblant ces champs, surtout ceux situés sur la frontière tuniso-algérienne".
Elles ont expliqué que cette mesure préventive a été prise, en raison des affrontements en cours actuellement au nord du Mali et à la suite de l'attaque terroriste contre le complexe pétrolier algérien de In Amenas et également au terme de la réunion tripartite entre les chefs des gouvernements de Tunisie, de Libye et d'Algérie, dans la ville libyenne de Ghedames, le 12 janvier 2013.
L'agence TAP n'a pas pu recueillir de plus amples informations, malgré les efforts pour contacter une source du ministère de la Défense nationale.
Di/Tap



