
“Le dossier du président déchu Zine El Abidine Ben Ali ne serait pas un obstacle quant au développement de nos relations avec nos frères du Golfe.” a déclaré Rafik Abdessalem.
Le ministre des Affaires étrangères a appelé les investisseurs des pays du Golfe à venir découvrir la nouvelle Tunisie, assurant qu’elle constituait une plate-forme plus attirante pour les capitaux, notamment avec la fin, selon lui, de l’ère de la corruption.
Lire aussi:
L’Allemagne annule la dette de la Tunisie déclare M.Horst-Wolfram Kerll




