
Il a déclaré, par ailleurs, que la majorité du peuple tunisien veut vivre en démocratie et modernité, sans s’éloigner de son histoire et culture islamique, et refuse qu’on lui impose un Etat religieux ou contre la religion.
Ali Laârayedh a signalé, d’autre part, qu’il reste optimiste pour le projet de Constitution estimant que la nouvelle version sera prête en juillet prochain.
Le chef du gouvernement a souligné, par ailleurs, que le conflit entre les partis politiques n’est pas un conflit entre la laïcité et l’islam, il se pose plutôt au niveau du régime politique à adopter et certains autres points de la Constitution.
ABM




