Le Centre national de pharmacovigilance n’a enregistré, jusqu’au 6 mai, aucun effet secondaire grave chez les un million de personnes vaccinées avec Johnson & Johnson, a indiqué le ministère de la Santé.
Il a souligné, dans un communiqué publié sur sa page officielle facebook, que le risque de développer des caillots sanguins est un effet secondaire très rare et apparaît environ une à deux semaines après avoir reçu le vaccin Johnson & Johnson.
Il a indiqué que le Centre national de pharmacovigilance surveille d’éventuelles complications des différents vaccins anti-covid administrés depuis le début des opérations de vaccination et ce, aux niveaux national et mondial.
Le ministère de la Santé a décidé, lundi, de suspendre l’utilisation du vaccin Johnson & Johnson, soulignant que cette procédure s’inscrit dans le cadre du suivi des évolutions liées à la vaccination contre le Coronavirus et les recommandations de la Food and Drug Administration américaine pour limiter l’utilisation de ce vaccin.