“Il est clair que nous assistons à un combat de deux boucs aussi endoctrinés, entêtés et vils l’un que l’autre.
Ce Habib Kazdhaghli mène un combat idéologique d’extrême gauche sous la couverture de ses fonctions. Il est, donc très loin de l’honnêteté, de l’intégrité mentale, de l’objectivité et de la responsabilité d’un doyen de la faculté. Il a toujours envenimé la situation et jeté de l’essence pour attiser le feu. Ses relations avec des groupes français travaillant pour la déstabilisation du pays sont publiées. Il a préféré gâché une année universitaire pour 8000 étudiants, la faculté de la Manouba est la seule en cela dans le pays. Ce doyen doit en être jugé et viré. La dernière affaire du « drapeau déchiré » est plus ou moins montée et fabriquée.
Ces salafistes, vrais et faux, auraient dû être dégagés depuis le gouvernement d’Essebsi.
Ils le furent dernièrement et les cours ont repris. Pourquoi les a-t-on laissés envahir la fac une autre fois ? On peut savoir qui est vraiment derrière ce contingent d’anarchistes. Les intrus et les perturbateurs doivent être jugés. Mais, apparemment, les deux boucs cherchent à généraliser cette anarchie et cette turpitude à toutes les facs. Fiasco, pour le moment mais éliminons ces boucs et ces vipères avant la vraie catastrophe”.
Réaction de lecteur :
Commentaire de amad salem à l’article Niqab, Salafistes: Un an d’emprisonnement pour outrage au drapeau tunisien