La Tunisie est le premier pays arabe à avoir imposé l’éducation obligatoire, consacré 1/3 de son budget à l’enseignement et fait du secteur de la santé un secteur prioritaire.
Serait-ce pour cela que nous avons aujourd’hui à la tête du pays un président qui n’a aucune maîtrise ni de l’économie ni de la politique nationale ou internationale et encore moins des enjeux sécuritaires et des hauts intérêts du pays? A tel point que même lorsque le chef d’Etat-major El Hamdi, par sens de la responsabilité, suite aux assassinats successifs de nos soldats, présente sa démission, c’est le président qui non seulement la refuse mais qui annonce son intention d’effectuer des changements considérables au ministère de la Défense.
C’est la chaîne Al Mayadeen qui vient d’annoncer cette information ce matin même. Marzouki, devenu le grand spécialiste de la présentation de condoléances aux familles endeuillées, qui a poussé l’inconscience jusqu’à organiser une marche en faveur de Gaza-ce qui est en soi la meilleure des choses-le jour de la fête de la République tunisienne menacée dans ses fondements même, a oublié que pendant plus de trois années il a ignoré le fléau du terrorisme qui s’étendait dans notre pays. Tant qu’il est bien protégé à Carthage, tant pis pour les mères tunisiennes qui pleurent leurs enfants!
Marzouki a accueilli au Palais de Carthage les artisans du terrorisme tels Ricoba et Drig, formatés à la sauce nahdhaouie après avoir été des bandits de grands chemins,et veut aujourd’hui saper le moral de nos troupes armées en essayant de semer la pagaille au sein d’un ministère qui essaye de se reconstruire pour défendre le peuple tunisien.
Les conseillers de Marzouki devraient, peut-être, le prier de calmer ses ardeurs autoritaires, car à la longue ce sont les véritables patriotes que le peuple élira et pas ceux qui n’ont fait que nuire à son image à l’international et fragiliser son unité au national sans oublier les insultes qu’ils lui ont assénées comme celles l’accusant d’être ignorant par rapport à son appartenance africaine!
A.B.A