
« Nous ne ferons pas partie de la prochaine équipe gouvernementale en raison de l’acharnement de la coalition au pouvoir à vouloir garder certains portefeuilles ministériels et imposer des quotas, sans prendre en compte ses nouveaux partenaires », a-t-il précisé. Mohamed Tahar Ilahi a réaffirmé l’attachement de son groupe parlementaire à la neutralité des ministères régaliens et de celui des Finances, insistant sur l’impératif de désigner des personnalités de consensus.
Les propositions du groupe « Liberté et Dignité » portent plus sur la révision des projets du gouvernement que sur les portefeuilles ministériels, a-t-il signalé. Ilahi a estimé que la feuille de route présentée dans le cadre des concertations répond à la plupart des exigences du groupe « Liberté et Dignité ». Celles-ci concernent, notamment, la sécurité, la lutte contre la cherté de la vie, l’emploi (surtout dans les régions défavorisées) ainsi que l’organisation, un mois après la formation du gouvernement, d’un dialogue national sans exclusion aucune.
DI/TAP




