Les femmes tunisiennes auraient-elles fait marche arrière après la révolution? Devraient-elles être réduites à occuper les second et troisième rôles dans les arcanes de l’administration publique et des institutions étatiques après le 14 janvier?Il paraît que c’est le cas au ministère de l’Enseignement supérieur, d’après une étude réalisée par Mongia Saïd Zina, directrice générale à l’Institut de recherche et d’analyse physico-chimique (INRAP) de Tunisie et présentée lors de la conférence “Partage du savoir en Méditerranée“ organisée par l’Association suisse «Partager le Savoir» du 17 au 20 mai 2012.
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