La représentante de «Human Rights Watch», Emna Guellali, a indiqué sur les ondes de la radio Express FM, le mercredi 16 décembre 2015, que la police tunisienne est devenue une police morale, ajoutant qu’«il faut une certaine conscience au niveau de l’institution sécuritaire dont le rôle est de défendre les libertés et les droits».
Selon elle, «le peuple tunisien est désormais coupable et otage de la police».