Sous le titre «… qui finançait Slim Riahi», le site web de l’hebdomadaire international Jeune afrique révèle qu’une enquête diligentée par les nouvelles autorités libyennes “visant à recouvrer des fonds détournés par la famille Kaddafi a permis de remonter jusqu’au Tunisien Slim Riahi“.
Le journal rappelle que Slim Riahi est le fondateur et président de l’Union patriotique libre (UPL), et écrit: il (Slim Riahi) “est dans l’œil du cyclone“.
Il ne s’agit pas d’une mince affaire. Car, si l’on en croit Jeune Afrique, «le gouvernement libyen a chargé un organisme onusien, Stolen Assets Recovery (StAR), de récupérer les avoirs de la famille Kaddafi cachés à travers le monde. Et c’est Command Global Services (CGS), une société spécialisée dans le recouvrement et le rapatriement de fonds, dirigée par Frank Zaretti, un ancien de l’administration Bush, qui a été chargée de l’enquête».
Dans ses investigations, la société serait donc parvenue à «remonter jusqu’à Riahi qui, jusqu’à la révolution tunisienne, a vécu en Libye, où il disposait de moyens financiers considérables qu’il utilisait sans compter».
Maintenant, plusieurs questions se posent. Si les informations de l’hebdomadaire s’avèrent exactes, comment l’homme d’affaires tunisien –version “Révolution“- va-t-il se défendre? Quel sort réservé à ses affaires –politique et économique? Surtout, qui pour le remplacer au Club Africain?
Affaire à suivre…
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