
Il a, également, mis en garde contre un éventuel “retour des forces rétrogrades”, qui représente “une véritable menace” qu’il est impératif de contrer de manière “vigoureuse”.
S’agissant de la constitution, M. Ben Jaafar a indiqué que sa première mouture est actuellement soumise à un débat national, ce qui constitue, selon ses dires, une expérience inédite dans le monde. M. Ben Jaafar admet, toutefois, une certaine lenteur dans la promulgation des lois relatives à la création des commissions chargées de superviser la magistrature, les médias et les élections, insistant, par ailleurs, sur “la nécessité de trancher la question de la violence”.




