« Le président de la République a condamné, jeudi 25 juillet, avec la plus grande fermeté l’odieux assassinat de M. Mohamed Brahmi, député d’opposition, élu à l’Assemblée Nationale Constituante (ANC) en 2011, fondateur et ancien secrétaire général du Mouvement du peuple.
L’assassinat de Mohamed Brahmi comme celui de Chokri Belaïd ne sauraient rester impunis. Toute la lumière doit être faite sur ces crimes qui, comme l’a rappelé le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius visent à faire échouer la transition démocratique en Tunisie et la recherche d’une unité nationale.
Lors de sa visite d’État en Tunisie, les 4 et 5 juillet, le président de la République a réitéré le soutien de notre pays à la transition en cours et sa solidarité avec tous les Tunisiens attachés aux valeurs de la révolution. Il a aussi appelé à l’esprit de responsabilité nécessaire à la préservation de l’unité nationale comme au succès de la transition démocratique, qui prévoit l’adoption d’une Constitution et l’organisation d’élections d’ici la fin de l’année. »