Il s’agit d’établir un constat sur les rapports homme/femme, et aujourd’hui un travail très lisible dans sa finalité le plus souvent réduite à l’information qui n’est pas suivie d’une action globale qui généralise une solution aux inégalités persistantes à la hauteur des attentes.
L’information sur les faits divers, la loi sur la parité, la réalité économiques, sociale, salariale, circule dans plusieurs supports, journaux, Internet sous forme de diagnostics et des constats… Le problème que je me suis souvent posé, c’est à quoi ces constats vont mener? Pour alourdir ou plutôt enrichir notre socle juridique ? Pour que le législateur s’occupe davantage (légiférer).
De toute façon, ça a toujours participé à l’amélioration des conditions de la femme dans le travail, la politique et même dans le foyer, plus des droits autant d’obligations, les hommes sont devenus obligeamment moins sexistes, peut être!? Malgré une résistance masculine machiste et les réalités le démontrent, le vécu féminin d’une grande partie de la masse féminine se dirige à contrevent des lois et des acquis et des espoirs.
Le fautif dans cette affaire n’est pas que l’homme seulement mais la femme aussi à travers son héritage culturel ou sa condition sociale et surtout à travers et à partir de l’ordre des rapports qu’elle à établi elle-même, en tant qu’épouse ou employée ou simple partenaire avec le représentant du sexe opposé, l’homme. Et là, je me pose la question suivante: la société est-elle un tout, un existentialisme global, ou elle est travail, politique et foyer?
Les associations de défense des droits de la femme, les institutions républicaines ont-elles agit pour résoudre les problèmes et les conflits, ou pour améliorer le vécu de la femme et le vécu commun, ou la condition féminine seulement, l’existentialisme féminin?
Établir un parallèle entre les droits distincts de deux sexes dans notre société, dite moderne et évoluée, l’image obtenue est honteuse. C’est toujours l’homme qui décide pour la femme en quelque sorte et non pas la société toute entière du fait que ce l’homme est majoritaire dans les instances de décisions, c’est le côté politique de la chose, de l’autre côté social et culturel la femme est toujours moins payée que l’homme pour le même travail. La culture de l’embauche est toujours machiste envers la femme, elle est toujours plus exigeante et elle met la femme à plus d’épreuves.
La problématique se trouve au profond de notre conception sociale des rapports qui régissent et régulent les relations dans la société où on vit. C’est un travail sur la recherche de l’équilibre qui doit s’engager pour mieux arriver à un équilibre où la domination sera aux valeurs de l’équilibre et non pas à un sexe. C’est une nouvelle éducation sociale qui doit prendre le relais dans les familles, à l’école et dans les entreprises à la place de notre héritage culturel qui consacre l’esprit et l’idée de la domination par le sexe dans nos rapports en générale. C’est le combat pour l’égalité.
En réaction à l’article: Mais pourquoi ils en veulent tant aux femmes?