550.000 réfugiés ont franchi les frontières depuis le mois de février. Nombre d’entre eux sont rentrés dans leur pays, d’autres en provenance de pays africains refusent de partir.
Parmi eux, il y en a qui sont atteints de maladies contagieuses et ont besoin de toute l’aide et l’assistance, non pas de l’armée tunisienne, mais de celles du Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), de l’Organisation internationale pour les migrations et celles des ONG et autres organisations humanitaires.