Corporatisme et aveuglement

Nous sommes dans un énième cas flagrant de corporatisme morbide et d’endoctrinement aveugle. On constate que des journalistes d’extrême gauche et de l’ultra laïcité se croient intouchables quel que soit leur comportement et leur infidélité à l’éthique et se prennent pour des dieux sur terre. «Le SNJT, l’UGTT, certains hommes politiques et une large frange de la société civile», toujours les mêmes sont toujours prêts à défendre l’indéfendable uniquement par ce corporatisme morbide et cet endoctrinement aveugle et non pour «la liberté de la presse» ni pour «la liberté d’expression». Expliquer toute décision à l’encontre d’un journaliste des leurs par «une mesure dictée par le pouvoir en place» est puéril et dénote cette mentalité malade d’idéologie.

Sofiène Ben Farhat est un journaliste moins qu’ordinaire parce qu’il use du sophisme à la manière des «béni Israël» mentant et altérant les faits effrontément, preuves à l’appui. Imbibé de soi, il n’accepte ni la contradiction ni le dialogue. Démissionnaire ou dégagé de la chaîne «rouge» et renvoyé de chems.fm, il se retrouve balayé, perdu, déstabilisé et surtout rejeté. Sa «grève de la faim» ne lui servira à rien. Il oublie que dans les pays démocratiques et spécialement en France, des journalistes de métier et d’expérience sont «remerciés» chaque jour. Il a fini par croire que Nessma et Shems Fm sont sa « propriété » ou qu’il leur était indispensables. Nous attendons sa fin dans La Presse. Il n’est pas conscient de sa vrai valeur, du mal qu’il a fait et que les extrémismes de « gauche » et de « droite » et dans tous les domaines n’ont aucune place dans ce beau pays.

Commentaire d’Amad Salem à l’article Affaire “Sofiène Ben Farhat” : Shems Fm s’explique