La chambre criminelle du tribunal de première instance de Tunis a statué, lundi dernier, sur le rejet de la demande de libération du président précédent de la Cour de cassation, Taïeb Rached, et a reporté son procès à mars prochain.
Cette affaire concerne des accusations de corruption, de falsification, de possession et d’utilisation de documents falsifiés, d’abus de fonction publique, de menaces pour empêcher une personne de témoigner, ainsi que de dénonciation de crime, de dépôt de plainte et d’escroquerie.