Crise et difficulté de la presse écrite : Les responsables répondent et expliquent

Le secteur de la presse écrite en Tunisie connaît plusieurs difficultés qui ne peuvent être résolues sans l’intervention de l’Etat. La publicité est l’artère le plus important pour garantir la continuité de ce secteur.

Pour rappel, Taïeb Zahar, le président de la fédération tunisienne des directeurs de journaux (FTDJ) avait annoncé depuis plus d’un an, mars 2016, sur les ondes de la radio Express Fm que la situation de la presse écrite en Tunisie est inquiétante et cela depuis le régime de la Troïka.

Le quotidien Assarih devient hebdomadaire

Le président de la fédération tunisienne des directeurs de journaux déclare à nos confrères du quotidien arabophone Al-Masdar que la situation n’a connu aucune amélioration depuis les dernières déclarations.

Le président du SNJT, Neji Baghouri, a déclaré que la presse écrite connait une crise dans le monde entier et cela à cause de la forte concurrence dans ce domaine. La presse électronique est en train de prendre une grande ampleur.

Neji Baghouri a déclaré qu’il y avait un accord avec le gouvernement pour soutenir la presse écrite, soulignant que les journaux devraient innover pour attirer l’attention du lecteur.