
De son côté, Souheil Alouane, président du comité de la santé au sein de l’ARP, affirme qu’il soutient le mouvement protestataire des médecins précisant qu’il est inconcevable de traiter les médecins comme si ces derniers étaient des criminels.
Le président du comité poursuit que la Tunisie marque un retard considérable comparée aux autres pays lorsqu’il s’agit de la législation médicale.




