En Tunisie, l’eau minérale plus taxée que les parfums

Dans un texte publié sur WMC, l’expert-comptable Fayçal DERBEL suggère des aménagement de certaines dispositions prévues par la loi de finances initiale et qui se sont avérées difficilement applicables ou inappropriées, ainsi que des suggestions de nouvelles mesures pour l’amélioration des recettes propres en attendant une réforme profonde de l’ensemble du système fiscal.Parmi ces suggestions, la révision du droit de consommation applicable sur les parfums

“Il est proposé de porter le taux du droit de consommation dû sur les parfums et eaux de toilette (n° du tarif 33.03) de 10% à 30%.

L’objectif n’étant pas uniquement d’augmenter les recettes fiscales, mais aussi d’éviter une incohérence consistant, en l’état actuel des textes, à soumettre les eaux minérales au droit de consommation au taux de 25% et les parfums au taux de 10%”.