Ce que dit Laarayedh à la presse étrangère…

On l’a souvent entendu, elle n’est pas forcément exagéré, nos responsables dans le gouvernement ou dans les partis politiques ont souvent donné l’impression d’être plus vrai quand il s’agit de déclarations à la presse étrangère, illustrations :

Dans une interview a Associated Press, le chef du Gouvernement Ali Laarayedh a reconnu “qu’il connaissait l’emplacement exacte de l’assassin de Chokri Belaïd mais qu’il ne pouvait pas dévoiler ces informations” (source: MosaiqueFM). A la presse tunisienne, il se contente de démentir en répétant que les informations publiées sont fausses, sans plus…

A la presse étrangère toujours, il fournira plus sur ses directives au nouveau ministre de l’intérieur, Lotfi Ben Jeddou, “des mesures fermes en coordination avec l’armée pour mettre fin à la criminalité à tous les niveaux, y compris le trafic d’armes à travers la frontière tunisienne avec la Libye”.

Des deux choses l’une soit, nos journalistes ne savent pas posé les bonnes questions, soit on interroge pas les mêmes (bonnes) personnes.