
La ministre a déclaré à cet égard, lors d’une séance plénière au Parlement pour examiner un projet de loi fondamentale relatif à l’approbation de l’accord d’extradition entre le gouvernement tunisien et l’Algérie : “Il n’y a pas de personnes interrogées sans accusations”.
Elle a souligné la nécessité de respecter les procédures judiciaires et de ne pas discuter des affaires qui sont encore en cours d’enquête, que ce soit dans l’affaire de complot ou autre.




