Le porte-parole du Tribunal de première instance de Tunis, Sofiène Selliti, a démenti, jeudi, l’arrestation d’une magistrate auprès de cette juridiction alors qu’elle exerçait son métier.
” Cette information est dépourvue de tout fondement “, a déclaré Selliti à l’agence TAP, en allusion aux informations relayées par certains médias sur ce sujet.
D’après Selliti, la poursuite pénale contre un magistrat relève des prérogatives du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) qui est en mesure de lever l’immunité du juge en question.
Des médias ont fait état, mercredi, de l’arrestation d’une magistrate au Tribunal de première instance de Tunis pour suspicion de corruption.