” Le processus d’élection des membres de la Cour constitutionnelle s’achemine lentement vers un consensus “, a regretté mardi l’assesseur du président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) en charge de la communication et de l’information, Mohamed Ben Souf.
Joint par l’agence TAP, Ben Souf a imputé la responsabilité de ce lenteur aux partis politiques et aux groupes parlementaires qui, a-t-il dit, ” doivent faire des concessions pour aboutir à un consensus dans les plus brefs délais “.
” La majorité requise pour l’instauration de la Cour constitutionnelle est le deux-tiers des membres de l’Assemblée des représentants du peuple et aucun député ou groupe parlementaire ne peut valider un candidat sans aboutir à un consensus avec la majorité des blocs parlementaires “, a-t-il dit.