Le parti destourien libre a appelé, lundi, à préserver la paix sociale, à éviter le discours de chantage et les surenchères et à faire prévaloir l’intérêt supérieur du pays.
Dans un communiqué issu de la réunion du parti dimanche à Hammamet, le parti destourien libre affirme son refus des amendements proposés concernant la loi N°52 du 18 mai 1992 relative aux stupéfiants.
Selon le parti, seul l’article 12 de ladite loi peut être modifié de manière permettant aux juges d’appliquer les dispositions de l’article 53 du code pénal.
Le but est d’alléger les peines, de substituer l’amende à l’emprisonnement et de reporter l’exécution de la peine au cas par cas.
Cet amendement est de nature à éviter l’incarcération des jeunes et ses conséquences sur leur avenir et leur stabilité psychique tout en protégeant la société de la propagation de la consommation et du trafic de stupéfiants.