Mémorandum d’entente entre la Tunisie et le gouvernement du Royaume-Uni

Un mémorandum d’entente a été signé, vendredi, au siège du ministère de la santé entre le gouvernement tunisien et le gouvernement du Royaume-Uni de Grande Bretagne et d’Irlande du Nord dans le domaine de la matière de protection sanitaire.

Le mémorandum d’entente, d’une durée de trois ans renouvelables, a été signé par le ministre de la santé Saïd Aidi, l’ambassadeur du Royaume Uni de Grande Bretagne en Tunisie, Hamish Cowell et le chargé des relations commerciales avec la Tunisie Andrew Morrison.

Ce document vise à renforcer le partenariat entre la Tunisie et le Royaume Uni de Grande Bretagne dans le domaine de la protection sanitaire et à faciliter les échanges de connaissances et des compétences entre les deux parties.

Il vise, également, à moderniser et à développer le secteur de la santé. Selon le texte du mémorandum d’entente, les deux parties s’engagent à organiser des réunions périodiques de façon régulière au moins deux fois par an.

A chaque rencontre, la partie tunisienne doit exposer ses besoins en vue de développer le secteur de la protection sanitaire.

En contrepartie, les représentants du Royaume Uni doivent fournir la consultation et l’assistance technique nécessaire pour satisfaire les besoins de la partie tunisienne qui seront assurés par le secteur privé au Royaume Uni.

Intervenant à cette occasion, Saïd Aidi, ministre de la santé a souligné que ce mémorandum est le premier du genre entre la Tunisie et la Grande Bretagne en matière de protection sanitaire, signalant qu’il permettra de renforcer le partenariat bilatéral notamment en ce qui concerne l’échange d’expériences et d’expertises dans les domaines de la recherche et des études, outre l’investissement dans plusieurs régions intérieures au cours de la période à venir.

De son côté, l’ambassadeur du Royaume Uni en Tunisie a indiqué que ce mémorandum d’entente constitue une base solide pour établir un partenariat à long terme dans le domaine de la protection sanitaire.

Il a, en outre, estimé que ce secteur figurent parmi les secteurs importants qui nécessitent le développement de la recherche à travers des rencontres entre médecins, spécialistes et chercheurs des deux pays.