Le secrétaire général adjoint et porte-parole de l’Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT), Sami Tahri, a indiqué, mercredi, dans une déclaration à l’Agence TAP, que “la réconciliation demeure nécessaire à condition de respecter la Constitution et la loi sur la justice transitionnelle et de faire prévaloir le consensus”.
En marge de la réunion de la commission administrative nationale de l’UGTT à Hammamet, Sami Tahri a jugé préférable d’organiser une consultation générale et de réviser certaines dispositions de ce projet de loi à caractère juridique, politique et éthique”.
“L’UGTT est pleinement convaincue de l’adoption d’une loi bénéficiant d’un large consensus s’il existe une réelle volonté de réviser le projet en question”, a-t-il dit.
Et d’ajouter, l’Union est en train d’élaborer une position claire autour de la question de la réconciliation économique qui n’a pas été introduite à l’odre du jour des travaux du comité et qui fait l’objet de débat avec les structures de l’UGTT.