Les électeurs suisses ont approuvé, dimanche 9 février 2014, une loi permettant une limitation de l‘immigration, de 50,3%, ce qui est vécu par la classe politique comme un coup de tonnerre et un désaveu mais surtout comme un saut dans l’inconnu pour les relations de la Suisse avec l’Europe.
Le presse européenne s’interroge sur les conséquences, notamment concernant les relations de la confédération helvétique avec l’Union européenne et la presse de Suisse romande, dans ses premiers commentaires, se dit “sonnée” après la “gifle” du succès du référendum sur l’immigration.
La Commission européenne a aussitôt “regretté” la décision des Suisses d’introduire des quotas d’immigration et a prévenu qu’elle “examinera les implications de cette initiative sur l’ensemble des relations entre l’UE et la Suisse”.
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