Selon des sources bien informées auprès d’Al Karama Holding, dont relève l’Ecole internationale de Carthage, l’Ecole de Leila -comme les Tunisois aimaient à l’appeler-, sera cédée en 2014, soit deux ans de retard par rapport aux premières prévisions.
A l’origine de ce retard, sa situation foncière qui n’est pas encore en règle. Des citoyens qui auraient vendu leurs terrains en deçà du juste pris ont mis à profit la révolution pour demander justice.