
Bien que son état général soit stable et “ne suscite pas d’inquiétude particulière”, ajoute l’APS ses médecins lui ont prescrit des examens complémentaires ainsi que quelques jours de repos, a-t-on ajouté de même source.
De son côté, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a rassuré samedi depuis Béjaïa sur l’état de santé du président de la République, affirmant que son état de santé “n’est pas du tout grave”.
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika, a été transféré samedi soir à l’hôpital militaire parisien du Val de grâce après avoir subi un « accident ischémique transitoire », c’est-à-dire un accident vasculaire cérébral (AVC) décrit par l’agence officielle algérienne APS comme étant « sans gravité » et « sans séquelle ».
Agé de 76 ans, Bouteflika avait déjà été opéré en 2005 à Paris « d’un ulcère hémorragique au niveau de l’estomac ». Un an plus tard, le président algérien s’était exprimé sur le sujet, confirmant qu’il avait été « très, très malade » mais qu’il s’en était « sorti de manière absolument fabuleuse ».
ABM




