
Les protestataires qui ont voulu installer des matelas dans l’enceinte du tribunal ont été empêchés par les forces de sécurité. Ils ont scandé des slogans appelant à la libération immédiate de leurs proches, considérant que “l’affaire a été politisée” et qu’elle a pris “des proportions beaucoup plus importantes qu’il ne le faut”. Les parents en colère se sont installés devant le siège du tribunal et ont refusé toute forme de dialogue, avant la libération de leurs enfants.
Ils ont menacé de poursuivre leur mouvement, au cas où leurs revendications ne sont pas satisfaites et que les 18 jeunes arrêtés ne sont pas libérés.
WMC/TAP
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