
Ces demandes sont “légitimes”, a affirmé de son côté le président de la commission des instances constitutionnelles Jamel Touir, précisant toutefois que le projet de la constitution évoque dans les principes fondamentaux la question de la police républicaine.
“En raison de son caractère provisoire”, la réforme de l’appareil sécuritaire ne peut en revanche être inscrite dans la constitution, a-t-il ajouté.
L’ANC examine en ce moment la possibilité de mettre en place cinq instances constitutionnelles. Il s’agit de “l’instance indépendante des élections”, “l’instance indépendante de l’information”, “l’instance indépendante des Droits de l’homme”, “l’instance indépendante du développement durable et les droits des générations futures”, en plus de “haut conseil islamique” dont la constitutionnalisation est sujette à débat, selon Jamel Touir.




