
En dépit de la crise économique aiguë, qui a caractérisé les deux dernières années du règne de Ben Ali, personne n’a osé puiser dans ce patrimoine stratégique. Idem pour le gouvernement de Ghannouchi et celui de Béji Caïd Essebsi.
Or, affirment certaines sources, si l’actuel gouvernement vient de mettre la main sur une partie de ce pactole pour boucler la loi de finances complémentaire 2012, ce n’est certainement pas de gaité de cœur. Car les frères du Golfe, commerçants dans l’âme depuis la nuit des temps, n’ont rien donné. Sauf des promesses d’investissement. Et encore sous certaines conditions. Qui touchent à notre politique intérieure.
Imed




