Par simple curiosité voire parce qu’on le croyait évident, nous sommes entrés sur les sites de la présidence de la République du ministère tunisiens des Affaires étrangères dans l’espoir de trouver une réaction “officielle“ de la Tunisie concernant l’enlèvement, ce matin, du Premier ministre libyen, Ali Zeidan.
A notre surprise, il n’y avait rien. Comme si cette affaire ne nous ne regardait pas. Nous rappelons que les autorités algériennes ont publié un communiqué dans lequel elles dénoncent cet enlèvement et expriment leur soutien au gouvernement et au peuple libyens.
Du coup, il y a lieu de se poser la question si les autorités tunisiennes réagissent en fonction de la couleur politique des gouvernements.