Le professeur de droit constitutionnel Amin Mahfoudh a parlé de la gravité de la mise en place de certains articles dans ce qu’il a décrit comme la « Constitution du président » ainsi que du danger qui accompagne l’absence de certains articles de loi.
Mahfoudh a déclaré dans une interview accordée au journal Al-Chourouk dans son numéro paru lundi 4 juillet 2022 que la possibilité de réparation est possible s’il y a une volonté…
Il s’est adressé au chef de l’Etat en ces termes : “En tout patriotisme, la Constitution ne vous appartient pas, pensez aux institutions qui sauvegarderont la continuité de la Tunisie et rendez le texte de la Constitution valide à travers le temps”.