L’ancien président Mohamed Moncef Marzouki a adressé une lettre ouverte au président du parlement tunisien dissous, Rached Ghannouchi, ses deux vice-présidents, Samira Chaouachi et Tarek Fetiti, ainsi qu’à tous les représentants du peuple tunisien.
Pour la première fois depuis l’indépendance, le 9 avril sera célébré sans la présence d’un parlement, ce qui indique le recul des droits de l’Homme causé par le coup d’État, car il a aboli un symbole de la souveraineté nationale.