L’ancien diplomate, Ahmed Ounaies, a déclaré, mardi 8 février 2022, que la dissolution du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) influera sur les grandes sociétés tunisiennes et les collaborateurs étrangers.
Dans une déclaration accordée à Shems FM, Ounaies s’est interrogé sur cette démarche qui ne fait pas partie des prérogatives du pouvoir exécutif et pourrait entacher le processus démocratique.
La réaction de l’Union européenne pourrait aussi refléter certaines craintes et ainsi influencer les collaborations.
Il ajoute que la décision du président de la République risque de compliquer les négociations avec le Fonds monétaire international (FMI).