Des organisations, associations et autres syndicats dans plusieurs pays, notamment au Maghreb et en Europe, ont exprimé leur solidarité avec la mobilisation sociale des jeunes tunisiens.
Dans un communiqué, ils ont appelé le gouvernement tunisien à respecter les principes de la Constitution de 2014, dénonçant « les mauvais traitements, la torture et les procédures judiciaires précipitées ».
«Ce mouvement de la jeunesse tunisienne pointe du doigt deux choses, la première concerne l’impasse économique et sociale à laquelle sont confrontés les Tunisiens en raison des échecs des gouvernements successifs, ainsi que l’indifférence de l’Union européenne…», explique le communiqué.
Ils appellent le gouvernement tunisien à libérer toutes les personnes “injustement” arrêtées et à prendre des mesures qui répondent aux aspirations du peuple tunisien et aux objectifs de sa révolution.