La constitution de 2014 permet au parti politique ayant le plus grand nombre de siège, en l’occurrence Ennahdha, de nommer un chef de gouvernement pour éviter la dissolution du parlement.
Selon l’article 89 de la constitution, Ennahdha peut nommer le remplaçant de Youssef Chahed si le gouvernement de Fakhfakh n’obtient les 109 voix.