
Aziz Krichen, ancien conseiller du président Marzouki, avait affirmé qu’une partie des archives avait disparu et a été remise à des parties étrangères, rappelle Saïda Garrach.
Sur les ondes de Shems Fm, la porte-parole de la présidence de la République a indiqué que l’opération d’archivage a été légalement organisée, et les documents en question ont été transférés à l’Institut national des archives. Garrach ajoute que le directeur des archives aurait pu dénoncer toute sorte d’anomalies.
Selon elle, la présidence de la République a suivi la procédure légale.




