La victime de Goubellat, Eya, a affirmé en premier avoir été violée et torturée par 8 individus qui ont agressé et tué sa mère et sa grand-mère.
Quatre mois après les faits qui remontent au mois d’août 2018, Eya change de version pour libérer des individus, qu’elle a accusé. Un seul suspect, un proche de la famille, est en état d’arrestation.
Les accusés, libérés après les aveux de la victime, ont affirmé n’avoir aucun lien avec les faits reprochés.
Quant à celui qui a été maintenu en garde à vue, Eya a déclaré qu’il était en conflit avec sa mère.
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