L’Union des travailleurs de Tunisie (UTT) a été privé de ses droits, malgré une succession de différents gouvernements et la garantie du pluralisme syndical dans la constitution, a indiqué samedi Mohamed Mehdi Kammoun, secrétaire général de l’UTT.
Dans une déclaration à la presse à l’occasion de l’inauguration du siège de l’union à Sidi Bouzid, Kamoun a précisé que l’UTT n’a jamais cessé de déployer les efforts pour présenter de nouvelles idées et une nouvelle conception de l’action syndicale se basant essentiellement sur la conciliation entre droits et devoirs.
Le gouvernement a toujours opté pour des discussions avec un seul interloculteur, alors que la conjoncture actuelle nécessite l’association des différentes parties sans exception afin de parvenir à contenir la tension, a notamment ajouté la même source.