
Les autorités sécuritaires ont affirmé que des menaces visent le député et sa famille d’où l’impérativité de le mettre sous surveillance et protection policière.
Hager Ben Cheikh accuse le député, Imed Daïmi, d’être à l’origine de ces menaces qui a ouvertement appelé au meurtre de tous ceux qui osent demander l’application de l’article n°1 qui permet aux militaires de prendre le pouvoir en Tunisie.




