Enseignement : Quand une décision de l’Ordre des ingénieurs de Tunisie crée l’effet inverse à l’école ESPRIT!

Suite au communiqué rendu public par l’Ordre des Ingénieurs Tunisiens et aux déclarations faites par son président sur une chaîne TV privée, relatifs aux diplômes d’ingénieur délivrés par les établissements d’enseignement supérieur privé, ESPRIT appelle instamment le Conseil de l’Ordre des Ingénieurs à revenir sur ses déclarations inexactes portant préjudice à la réputation d’ESPRIT et à ses diplômés, faute de quoi il sera fait recours à toutes les instances compétentes pour faire respecter la loi et les droits de ces derniers.

L’école indique que:

1- L’habilitation des établissements universitaires et la reconnaissance des diplômes qu’ils délivrent sont du ressort exclusif du ministère de l’Enseignement supérieur.

2- Les diplômes délivrés par ESPRIT répondent à cet égard à toutes les exigences de la règlementation en vigueur et en particulier du cahier des charges du ministère.

3- Depuis 2014, ESPRIT est la seule école d’ingénieurs tunisienne publique ou privée dont les diplômes sont accrédités par la Commission française des Titres d’Ingénieur (CTI) conformément au standard européen EUR-ACE (European Accreditation of Engineering
Programmes).

4- Les statuts du Conseil de l’Ordre des Ingénieurs lui font obligation d’inscrire tout ingénieur porteur d’un diplôme délivré ou reconnu par l’Etat, et a fortiori lorsque celui-ci bénéficie de surcroît d’une accréditation internationale.

ESPRIT appelle donc instamment le Conseil de l’Ordre des Ingénieurs à revenir sur
ses déclarations inexactes à même de porter préjudice à la réputation d’ESPRIT et à ses
diplômés, faute de quoi il sera fait recours à toutes les instances compétentes pour
faire respecter la loi et les droits de ces derniers.

D’ailleurs, effet “bonne surprise” pour l’ESPRIT, on a appris de source digne de foi que plusieurs étudiants se sont rendus à l’université privée Esprit, lundi 21 août 2017, qui pour s’inscrire, qui pour obtenir le formulaire d’inscription en signe de contestation envers les nouvelles décisions prises par l’Ordre des ingénieurs.